↘ to bleed from thorns.

❝ ireland reyes ❞

before the dawn in the swelling of this storm

- TO SHOW YOU THE HEART BEHIND MY EYES -

prénom(s) - Son appellation est bien loin de représenter une tradition familiale, non son prénom se contente que de souligner les origines d'un père qu'elle n'a pas eu le loisir de connaître. Ireland qui marque la nationalité de son géniteur, quand à son second prénom il est plutôt commun puisqu'il lui vient de la sœur de sa mère soit Margaret ce qui est plutôt courant mais qui a toute son importante à la fois. nom - Un patronyme qui se fond dans la masse humaine de nos jours, un nom de famille qu'elle doit à son propre paternel comme ce dernier avant lui, soit Reyes. lieu de naissance, âge - Bien qu'elle ait passée une grande partie de son adolescence au sein de la région d'Indianapolis, ses tous premiers souvenirs se trouve à Chicago dans l'Illinois. Née durant la période hivernale soit un certain trente-et-un décembre, du haut de ses vingt-cinq années rien de change réellement si ce n'est le temps qui défile un brin trop rapidement. statut social - Il y a encore à peine quelques années sa main était ornée d'une bague d'une singularité véridique et explicite de son engagement auprès de celui à qui elle aurait confié sa vie aveuglément. Aujourd'hui, elle est actuellement célibataire un choix qu'elle n'a pas fait sans conséquence et dont ces dernières se perpétuent encore actuellement. traits de caractère - Rancunière, loyale, déterminée, terre à terre, expressive, intelligente, contradictoire, amusante, calme, adroite, féministe, tolérante, protectrice, forte mentalement, sensible, réservée, endurante, débrouillarde (...) métier - Des études supérieures en linguistique, un diplôme d'interprète en poche, la brunette s'investi dans sa carrière professionnelle en travaillant pour un cabinet d'avocat en tant que traductrice. Néanmoins il y a quelques mois, elle met sa carrière entre parenthèse pour reprendre la direction du café qui appartenait autrefois à son parrain. Elle en est devenue d'ailleurs la co-propriétaire. catégorie - La jeune femme est une gifted classée dans les répertoires de la Division. Ces derniers vous révéleront son appartenance à la catégorie des mover dont le niveau est celui d'un beta. crédits - dailyreigns/tumblr.

• Pour vous, vos dons sont-ils une bénédiction ou une malédiction? Ils pourraient être une bénédiction, un avantage sur tout le reste de l'existence humaine. Ils pourraient être une malédiction, un mauvaise présage pour éloigner l'être humain de son propre monde. En vérité c'est un condensé des deux, un mixte auquel il faut trouver un équilibre. Ce dernier est tantôt instable, tantôt constant tout comme l'est le hasard dans sa forme la plus naturelle. Pour Ireland, sa différence est une force et un fait qu'elle ne peut changer alors elle l'apprivoise afin de le rendre moins hostile, plus propice à la cohabitation entre ce qu'elle à l'intérieur et ce qui doit être à l'extérieur. S'il lui arrive d'avoir des pensées à contre courant et d'autres qui parfois avance en le suivant, il n'en demeure pas moins que l'évidence de son don fait partie d'elle et qu'elle ne le renie pas.

- WATER'S SWEET BUT BLOOD IS THICKER -

Histoire - C'est donc ici que sera présentée l'histoire de votre personnage. Que ce soit en journal intime, anecdote, en "je" ou en "il/elle", en description, texte narratif ou autre moyen, le tout devra faire 25 lignes minimum. Nous souhaitons vraiment connaitre votre personnage et toujours est il mieux de détailler pour établir des liens après la validation. Bonne chance!

- THE SKY COMES FALLING DOWN -
pseudo, prénom - écrire ici. commentaire(s) - écrire ici. avatar - écrire ici. groupe - lambdas, the division ou gifted.

" i wanna take you somewhere so you know i care
and if somebody hurts you, i wanna fight "

La pluie diluvienne ne fait que s'abattre sur la vitre. Une vitre que ta joue touche à même la peau. Cette joue collée à la vitre glaciale, tu observes d'un regard vide le paysage de la ville de ton adolescence qui défile dans la nuit noire où seules les lumières des phares des voitures passent. Les véhicules filent à contre sens du chemin que tu quittes, te laissant pour seul souvenir les dernières lignes que tu avais couchée sur le papier. Cette missive qui décline tout un panel de mot de sécurité et de regret de le quitter, qui dépeint toutes les raisons abstraites qui pourraient lui faire courir un danger à lui comme toi. Tu n'avais rien vu venir, toi qui pourtant a toujours été sur tes gardes. Tu n'avais rien vu paraître, toi qui pourtant avait toujours su lire entre les lignes. La question n'avait pas été d'être aveugle simplement de songer une seule minute que les personnes hors du commun puissent vivre une existence tout simplement aussi banale qui l'était de respirer. Seulement protéger celui que tu aimais, c'était finalement l'abandonner et ce sans te retourner. Une décision et un acte difficile vous qui étiez un roc solide, unis. Le dialogue et la confiance était une des caractéristiques du couple que vous formiez, mais peut être manquait-il de profondeur. Tu fermes fortement les paupières comme pour apaiser le trou béant et invisible qui déchire ta poitrine. Blessure d'un cœur brisé qui devait apprendre à se fermer. Ton cellulaire ne cesse de vibre tel un bourdon mécontent dans la poche de ta veste. Tu sais que c'est Ephraim qui tente encore de t'appeler. La dernière fois que tu avais regarder ton portable il y avait vingt-deux appels manqués, ta messagerie était saturée. Tu passes une main dans ta chevelure d'un noir de jais, sans cesser d'observer la route éclairée par les nombreuses voitures. Peu de gens était au courant de ton départ, seulement ton père qui en qualité d'inspecteur de police pouvait mieux que personne détecter les mensonges d'une vérité qui coûte. Il en avait fait les frais avec la disparition de ta mère, dont la responsabilité revenait aux membres de la Division. Elle était une watcher douée et en dépit de toutes les précautions qu'elle avait prise, elle avait perdue la vie. Tu ne voulais pas faire subir cela à Ephraim, il méritait mieux que cela après tout. Tu sors ton cellulaire de ta poche, effaçant un à un les messages sans prendre la peine de les écouter ou bien de les lire. Il n'en reste plus qu'un et comme pour t'accabler un peu plus tu décides de l'entendre. Sa voix est cassée et teintée d’inquiétude. Il cherche à comprendre sous un flot d'interrogations, son timbre respire la tristesse et un désarroi que tu ne lui connais pas. Je t'aime, t'avait-il dit. Tu effaces le message, submergée par l'émotion et la déchirure des sentiments. Des larmes silencieuses coulent le long de tes joues. Toi aussi tu l'aimais.